Chez jishin

aahh!! Que de poussière.
Si longtemps rester fermé. Les toiles d'araignés avait envies la maison. L'humidité avait abimé certains meubles de valeurs. Que de travail et de gachis. Enfin, je ne peux que m'en vouloir. C'est la vie. Aller au travail.

Toc, toc, Vientiane frappe à la porte, le coeur battant la chamade, Jishin est de retour dans le monde des vivant et son voisin de plus........Dieu aurait-il écouté mes prières ?

-Hou! hou! Y a t'il quelqu'un ?
Tout à coup la porte s'ouvrit, un Jishin couvert de poussière, un toile d'araignée pendait de ses cheveux mais souriant et il semblait heureux, de me voir ? ou d'habiter cette jolie maison poussiéreuse.

-Bonjour jishin, je vois que vous êtes en plein travail, je suis passé vous souhaiter la bienvenue parmi nous, puis vous aider en quoi que se soit, enlever quelques toiles qui trainent par ci-par-là

En disant cela, Vientiane s'approcha et retira les fils qui ormaient la tête du jeune homme.
Jishin lui prit la main et la baisa....................

Quel plaisir Vientiane de vous voir apparaitre au milieu de tous ca. un peu de lumière dans cette sombre chaumière.
Votre présence me manqué. Et votre présence est pour moi déjà une grande aide dans ce fouilli. je me rend compte que j'ai eu des locataires pendant mon absence.
Dis-je en souriant.
Désirez vous une collation?

Bonjour Jishin,

Une collation dans ce capharnaüm, non merci, une tasse de thé pleine de poussière ne me tente pas du tout, par contre je vous fais une proposition:

Je vous aide à nettoyer et remettre vos meubles en place et ce soir lorsque tout sera net et brillant je vous vous propose de venir souper chez moi. Les assiettes y sont propres ! ! !

Je me moque un peu c'est pour cacher l'émotion de vous revoir aprés cette si longue absence. J'en oublie ma rancoeur due a votre négligence et votre silence.

Nous parlerons de cela plus tard, si nous voulons finir ce jour, il faut nous mettre au travail.
Allez Jishin, faisons de cette maison un bijou ou vous serez heureux de vivre.............

J'entrais, bien décidée et pleine de courage, il en fallait tant les insectes et les oiseaux avaient laissé de souvenirs. Mais j'étais pleine de joie, sans savoir ce que serait demain, je lui avais manqué.....Un ami vous manque aussi....Une soeur, une compagne, c'était une expression neutre qui ne l'engageait en rien, et moi idiote qui lui parle de mon émotion ! ! !
Jamais je ne saurais cacher ce que je pense.......

Soite!
J'accepte, avec grand plaisir votre proposition. Et j'irai prendre une des bouteilles de mon oncle que j'ai emprunté dans sa cave.

Malgré mon comportement indigne d'un gentilhomme envers elle. Elle ce comporté comme si de rien n'était. J' était tous de même mal à l'aise du à cela. Mais j'esserais de faire en sorte de ne pas le montrer.
Quel plaisir de la voir pleine de joie et si rayonnante.
Si je n'avais eu mes raisons, je n'aurais eu ce comportement.

J'ai une idée. Donnons au moins favorisé l'ancien mobilier qui est ici mis a part certains et faisons venir un charpentiers, un menuisier et un tisserands pour remettre a neuf cette demeure. Etalons devant la maison tous cela et annonçons à qui le désire dans prendre possession.

son regard me glaça, un coup de poignard dans le coeur, je me tournais pour cacher les larmes que je sentais perler à mes yeux et lui dit, d'une voix que je voulais gaie et assurée

- Qelle bonne idée, un verre de vin lorsque nous aurons terminé nous remettra d'applomb.

Je sentais que je n'étais pas la bienvenue, il avait un air contrit et je le sentais mal à l'aise.
Je me mis au travail pour essayer de ne plus penser mais mon angoisse m'etreignait si fort que je ne pus appaiser mon esprit.
Je n'osais plus croiser son regard, j'époussetais, lavais avec une rage contenue, pourquoi ne pas me dire ce qui se passait.
Qu'il n'éprouvait rien à mon égard que je l'encombrais, qu'il avait sans doute renconté la femme de sa vie, peut-être avait il essayé de me le dire, mais plus sotte que moi, difficile à trouver.
Mes espoirs étaient si grands que je ne m'étais apperçue de rien.
Enfance solitaire, abandons multiples, que me restait il ? RIEN ! Jamais on ne voudrait de moi, il me fallait me rendre à l'évidence je resterai toujours seule et sans personne pour partager ma vie.

Etre délaissée à ce point par celui pour qui l'on pensait compter, c'est pire que la mort. je ne sens plus de vie en moi rien qu'un grand vide.........~~

Pourquoi Vientiane évitez de me regarder.
Je la voyez là, à genoux entrain s'acharner sur le parquet. Je sentez une ambiance électrique dans la pièce. Je devais remédier à cela qui à ce que Vientiane me rejete et me refuse à jamais. Je le méritez de toute facon. mon manque de présence pour elle était une insulte, j'étais pratiquement sur que c'etait la cause de son comportement.

Je me rapproché de vientiane. M'agenouillais à coté d'elle et lui pris la main tendrement et lui dis doucement:

Vientiane, arrête. Si tu continue tu vas passé au travers du parquet.

Elle tourna la tête. Je lui souris tendrement. je mis mon front sur le sien tous en mettant son visage entre mes mains.

_Me pardonneras-tu de ne pas avoir donné de nouvelles?
_Tu es la première femme à qui j'ai vraiement donné mon coeur et je n'en veux aucune autre.
_ Je n'ai pas compris mon comportement. J'ai eu peur. Peur de gaché quelqu'un de merveilleux.
_ Peur de ne pas être à la hauteur.
_Mais ma réaction à ton égard fût stupide et je me rend compte maintenant que je n'ai réussi qu'à te faire souffrir. Je ne peux effacer ce que j'ai fait. et si je t'ai perdu, je suis le seul coupable. Tu n'as pas a souffrir à cause de mon comportement. Mais, je veux que tu sache une chose.

Je m'arreté. Dois-je lui avouer. Vais-je encore la faire souffrir plus. Une petite voix me disait:
vas-y. T'attend quoi imbécile.
et une autre me disait:
_ Tu vas te faire renvoyer paitre jishin.
Je déglutis. Je sentais de la sueur couler de ma nuque et descendre le long de mon dos. mes mains tremblais légèrement. J'avais l'impréssion que mon coeur s'écrasais sur lui même. Qu'on le prenais et qu'on le mettez dans un étau. Les mots sortir de ma bouche. Dans un beguaiement.
je... Je...je t'aime Vientiane.
Je me sentis soudain très mal à l'aise et baissé les yeux en attendant vientiane. Je sentez mon corps envahi par une intense chaleur. J'ai l'impression d'être le jour du jugement dernier et de passé au purgatoire.

Je vis Jishin s'approcher de moi, une vague de chaleur m'envahit, quallait il encore me dire pour me blesser un peu plus.
Mais il me pris doucement la main avec une tendresse infinie, ce qu'il me dit ensuite............
Me laissa sans voix, j'avais la gorge sèche, il pris mon visage entre ses mains..... Je devais être couleur tomate tant je m'étais acharnée sur ce parquet, je me sentait légèrement étourdie par ces mots que j'attendais depuis si longtemps ! ! ! !

Il se tut un court instant, comme s'il hésitait, statufié, je n'osais bouger, mon coeur battait la chamade, des milliers d'étoiles passaient devant mes yeux , je n'allais pas me pamer tout de même, et pourquoi pas, il me prendrait alors dans ses bras, non......pas de pensées de ce genre.............dans ma tête je n'étais qu'une gourgandine.................j'attendais quand il me dit:

Citation :

Je...Je...Je t'aime Vientiane

[i]Je me senti partir, je senti mon corps ne plus m'appartenir, trop de bonheur peut causer de telles émotions ?...je n'étais plus moi même mais une Vientiane avec un coeur plein de bonheur et de joie,ensuite je n'étais plus là..............

Vientiane s'évanoui. Je la ratrappé avant quel ne rencontre le sol. Je la pris dans mes bras et la déposé sur la banquette après avoir poussé du pied les quelques affaires qui l'encombré.
je me mis en quète d'eau.
Qu'est-ce que j'ai fais?
Ai-je eu raison de lui avoué mes sentiments?
Ce que lui ai avoué la tourmenté telle encore plus?
J'ai l'impression de faire tous de travers et accumulé les erreurs.
Je trouvé de l'eau d'en un pot de porcelaine dans la cuisine. Je pris un mouchoirs propre dans l'armoire et revint vers Vientiane et lui essuier doucement le visage avec le mouchoirs d'eau fraiche.

Vientiane! Vientiane! Ca va?
Mille excuse si j'ai dis quelquechose de mal ou si je t' ai blessé encore une fois. Ce n'etait pas dans mes intentions.
Vientiane! Réveille toi.
Je lui pris la main et la tapotté.

Mon Jishin,


Heureusement que tu m'as ramassée, je craignais d'être restée toute la semaine sur ce sol boueux et humide, de quoi attraper la mort ........

Je m'éveillais doucement, comme dans un rêve, un ange me tapotait doucement la main,
Plutôt un caresse.
J'ouvris les yeux et rencontrais le regard tendre et inquiet de Jishin...............
Je sentis mes lèvres s'étirer en un grand sourire de bonheur...............
Je n'osais parler de peur que ce ne soit que pure invention de mon imagination. Je refermais vivement les yeux et les rouvris soudainement.....L'ange était toujours là, penché sur moi.
J'avais envie de poser mes lèvres sur cette mains qui me caressait doucement mais ne fis aucun mouvement. J'attendais, eh oui j'attendais encore, mais cette fois j'attendais d'être enfin heureuse....................

Vientiane ce reveilla et je vis un regard etonné. Comme si elle poser les yeux sur moi pour la première fois. Puis son sourire apaisa mais inquietude concernant mes révélations sur les sentiments que j'avais à son égard. Je passais ma mains dans ses cheveux.ils étaient comme la carresse de la soie et pourtant si dense. ils glissais dans mes mains en une carresse ennivrante.

je me suis inquieté tu sais. J'étais prêt a aller chercher un medecin.
Tu vas mieux?
Tu ne cache point de maladie?
Je serais ravi, a mon tour, de pouvoir te servir de medecin.

Dis-je avec un sourire.
Je me penché sur sa main et l'embrassé doucement. et plonga mon regard dans le sien.

-Jishin es ce bien toi, je me croyais au ciel................Je crois que mon coeur y est ! ! !
Que m'est-il arrivé ?

Soudain, elle se souvint de l'aveu de Jishin, elle rougit, mais son sourire rayonnait illuminant toute la pièce, un paradis sur terre, son coeur s'ouvrait comme une fleur.
Peut on connaitre une telle joie sans en mourir ?
Certainement, car jamais elle ne s'était sentie aussi vivante qu'en cet instant

- Je vais bien, ais je glissé ?........Je te taquines..... Sans doute l'émotion, tu le sais bien,
t'entendre me dire ces mots est une douce musique que j'attends depuis si longtemps.
Le choc.............Entendre ta voix ...............Te voir là, penché sur moi.............
Serre moi fort.....................

IL l'a pris dans ses bras musclés et la serra contre son coeur qui battait la chamade.
Le sien tambourinait si fort que l'on devait l'entendre de l'autre côté de la ville........Elle voyait des milliers d'étoiles tourbillonner autour d'elle, tout un ciel descendait du plafond pour les entourer comme une valse lente .................AMOUR...............


Vientiane

Je me sentais comme dans un cocon, enfermée entre ses bras vigoureux, je senti ses lèvres douces et chaudes se poser dans mon cou....un frisson me fit trembler.....
Elles cheminèrent lentement passant sur ma joue pour s'arrêter sur ma bouche, une brûlure ....
Un aiguillon de plaisir me traversa...Ma pensée se confondit entre rêve et réalité....
Une crainte me pris, qu'allait il penser de moi, de mon tout premier baiser, inexperte, hésitante, ne sachant trop que faire...............Cela ne dura que quelques secondes, mon bonheur était trop grand, enfin il était là, enfin j'étais serrée contre lui......
Lorsqu'il lacha mes lèvres je lui sussurait dans le creux de son oreille .............

Jishin, ne me quittes plus, je t'aime plus que tout............Reste pour toujours contre moi....


Il me prit le visage dans ces mains comme une douce caresse, me sourit tendrement, et me serra encore plus fort

Mon coeur, je crois que si tu continue de la sorte, bientôt je vais rendre l'âme.....

Luis dis je toute esoufflée, quelle force, quelle puissance, l'AMOUR ..............

Son baiser etait inexperimenté mais, la fougue et la passion qui brulé en vientiane depasser grandement cela.

Seul la mort nous séparera. Je ne puis vous quitter sans y perdre mon ame et errer a jamais dans les couloir du neant. Maintenant et a jamais nous ne ferons plus qu'un.

Je me relever apres avoir deposer un baiser sur le front de vientiane.

Laissons cela pour le moment et allons nous restaurer dans les jardins de mon oncle. Quand dites vous?
Si nous faisions un petit tour dans ses cuisines. Car pour le moment, je reside chez lui le temps de tous remettre en ordre.

Je lui souris tous en lui carressant la joue du bout des doigts.

Ses paroles me touchèrent vraiment, entendre un tel serment me donna le plus grand bonheur de ma courte vie............Une rencontre..............une promenade.............
Promenade qui durera toute notre vie......Ce que j'avais espéré et dont nous avions rêvé Majolana et moi se réalisait.
Je ne me sentais plus une triste petite fille mais une damoiselle aimée tendrement par le plus charmant des chevalier..
J'avais des ailes, je pouvais m'envoler la-haut dans le bleu du ciel et de ses yeux, m'y perdre pour toujours.
Je sentis une caresse, d'une douceur infinie effleurer ma joue, je l'entendis me parler, mais ne saisis pas tout ce qu'il me dit, mon esprit vagabondait encore dans l'absolu....
Il m'invitait chez son oncle pour nous restaurer, effectivement au même instant je sentis mon estomac crier famine.

Avec grand plaisir, je crois que j'ai une petite faim, et puis les jardin doivent être si beaux à l'éveil du printemps, me parleras tu encore des fleurs, j'adore t' écouter, ton savoir est si grand sur ce sujet ! ! !
Ne serais tu pas un troubadour secret...?
Mon troubadour à moi...!
Je me recoiffe un peu et nous pourrons partir...

Je lui souris me demandant s'il me trouvait jolie avec mes cheveux décoiffés et mes joues couleur de pomme. J'aurais voulu être la plus belle, rien que pour lui....

-Ou l'as tu trouvée ?


Je n'ai pas de chance, je trouve la peinture de Tambour et mon tendre ami, l'a déjà dans son salon.
Je ne suis pas assez rapide, car cette peinture je l'ai depuis le Kenya et l'ai ramenée rien que pour lui, trop tard, je ne suis vraiment bonne à rien (lol)

Si je sais une chose....je tiens à lui énormément et un petit mot, un petit message me remettent le coeur à l'endroit. C'est mon magicien de l'âme............

Si aprés cela il ne me dit rien, je l'assomme cet inconscient.....

Douce vientiane a écrit:

-Ou l'as tu trouvée ?

ou vous l'aviez cache mon ange.

Douce vientiane a écrit:

je ne suis vraiment bonne à rien (lol)

vous vous trompe et vous sous estime grandement. Je suis avec vous cela prouve le contraire. Et je suis sur que vous êtes capable de plein de chose pour rendre un homme tel que moi heureux.

Douce vientiane a écrit:

Si aprés cela il ne me dit rien, je l'assomme cet inconscient.....

Non! pas la tête pas la tête.
tiens je lis les pensées moi??

Ma douce rien que votre presence illumine ma journée et me donne des ailes.

-Ah! voilà, ma surprise n'en étais plus une puisque vous l'aviez déjà découverte, moi qui pensais que vous étiez trop occupé pour fouiner.....
Quel petit coquin vous faites, et moi, sotte et naïve qui crois tout ce que vous me dites.
Dorénavant je vais me méfier, enfin essayer, j'ai une telle confiance en vous et vous me menez par le bout du nez.....Chenapant......Mon chenapant à moi.....

[i]J'étais heureuse, ma surprise n'en étais plus vraiment une, mais il l'avait appréciée, et c'était la seule chose qui comptait, quel dommage que je ne puisse partir avec lui, quel rêve ce voyage qu'il fera seul, être ensemble jours après jours, chaque matin m'éveiller et le savoir non loin de moi le retrouver et marcher prés de lui.......................
Ca suffit, Trop pauvre encore, il me faut plus d'argent de force et une épée, un bouclier, tout un attirail de guerrier et surtout apprendre à m'en servir, ces engins sont si lourds que je ne suis pas sure que mon bras saura les porter.......
Jishin, emmène moi, cache moi dans ta besace ou contre ton coeur, je vis dans mon jardin une jolie rose rouge.......Voilà ce qu'il portera sur son coeur, un petit morceau de moi, odorant, tout brillant de rosée. Je vais la lui donner ce soir au moment du départ.....