La chaumière de Lyrie

Arnaudine fait signe à dame Myrielle de venir la rejoindre :

- Entrez entrez dame, je serai si heureuse d'avoir de la visite ! Mon intérieur n'est pas encore tout à fait aménager, mais entrez, je trouverai bien un banc pour vous faire asseoir !

Myrielle, sur l'invitation d'Arnaudine, s'avance.

Merci, Arnaudine ! Je suis heureuse de vous savoir revenue si vite ! J'espère qu'aucun incident fameux n'a écourté votre voyage...
Je sais, à présent où vous habitez et je ne manquerai pas de vous rendre visite.
Si vous avez besoin d'aide pour votre aménagement, n'hésitez pas à me demander !

- Ma chère dame, je vous remercie, mais j'ai trouvé, dans mon compagnon de voyage, un excellent déménageur, je pense... Il n'est pas encore au courant d'ailleurs !

Arnaudine rit sous cape...

- mais je saurai bien le convaincre...

Arnaudine rit en voyant sa colombe revenir, avec un tout petit message. Elle se met à rire en le lisant !

" Il n'a pas compris le cher ange... Et bien puisque c'est ainsi, je vais aller lui porter notre repas et me ferais invitée chez lui..."

Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle prépare un panier avec tout le repas qu'elle avait préparé et se présente à l'huis de son cher Firaz...

- Firaz ? Vous êtes là mon ami ? Il n'est pas question que je mange tout cela toute seule ! Vouslez-vous bien partager avec moi ?

[i]je ne savais que faire, j'étais devant la maison d'Arnaudine attendant....attendant quoi ?

Que quelqu'un sorte, je ne savais même pas si elle était là.
Que de malchance, j'en voulais au monde entier de faire souffrir une jeune femme si bonne, si courageuse.....Coeurs de Pierre voilà le nom que l'on devrait donné aux hommes....

Je n'osais l'appeler et m'assis sur une marche, il faisait beau, j'allais attendre un moment,je me sentais incapable de la regarder, je voulais la consoler mais j'avais honte.....Honte de quoi ? je ne savais pas .....Un sentiment d'impuissance me possédait devant cette injustice.

Le ciel commençait à s'assombrir, personne ne se montrait, aucun bruits, j'étais dans une grande inquiétude au point que je vis pas Arnaudine arrivé au bas de la rue.......[i]

Toc...Toc...Arnaudine, es-tu là ?


Messire Alphius lui avait dit qu'Arnaudine reviendrait, mais quand?
Je frappai encore, peut être dormait elle encore fatiguée par ce long voyage...

J'attendis un moment, mais n'entendant aucun bruit, je me décidais à partir, je repasserais ce soir, dommage, cela m'aurais donné tant de plaisir de la revoir...

A ce soir mon amie, dors bien !

Chaque matin Firaz devait passé devant la maison d' Arnaudine pour allait travaillé à son champs... Et quand il passait devant il avais un pincement au coeur en voyant les volets fermés. Mais se matin en passant devant, il vis la maison ouverte... Sa premiere intention lui disais d'allé parlé a sa chere Arnaudine mais il préféra retourné chez lui, en arrivant chez lui il prit un petit morceau de papier et une plume et il écrivit...

" Merci d'etre revenue "

Il ne préférat pas signé... Son coeur souffrait encore trop.

Avant d'arrivait chez Arnaudine il ceuillat une fleur et lui déposa avec le petit mot devant la porte et il reparti le coeur plus léger a son champ

Arnaudine entend un bruit à la porte, ouvre brusquement et trouve le mot et la fleur, de loin elle aperçoit la silhouette de Firaz...

- Firaz ? Entre, ma porte ne t'est pas fermée... Arrive et en vitesse en plus, nous avons à parler.

Quelques instant plus tard il entendit une femme l'appelé...

- Firaz ? Entre, ma porte ne t'est pas fermée... Arrive et en vitesse en plus, nous avons à parler.

Il s'appercut tout de suite que c'était la voix d'Arnaudine... Il ne savait pas quoi faire, son coeur battait si fort que tout le voisinnage devait l'entendre. Il continué a marché...
Peur de faire encore plus d'erreurs, il préféra ignoré cette appel meme si cela il le faisait a grand peine.

"ne te retourne pas, ne te retourne pas..."

Arnaudine se précipite sur Firaz, le retourne d'un bloc et lui colle une paire de gifles de première... ça soulage !

- Là, tu as été trop loin ! Je voulais te parler, pour que nous ayons des relations amicales, maintenant non. Tu peux repartir d'où tu viens et tiens...

Elle lui jette la fleur au visage.

- Tu peux la reprendre... Adieu Firaz, je t'ai aimé, oh oui dieu sait que je t'ai aimé...

Les yeux d'Arnaudine sont pleins de larmes...

- Je savais que je n'aurai pas dû revenir à Dijon.

Puis elle repart et s'enferme chez elle.

Le temps que Firaz se remette de la gifle qu'il avait reçue Arnaudine était déja rentrer chez elle.
Il tomba a genoux au milieu de la rue et regarda le ciel :

AAARRRRRGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!
Pourquoi vous vous acharné sur mon sort !!!

Il se releve... Se dirige vers la porte d' Arnaudine et frappe de plusieur coups fort et sec:

Ouvre ! S' il te plait ouvre ! Je veux que tout ca CESSE !

Arnaudine ouvre. Son regard est dur et froid. Jamais elle n'a ressenti un tel désintérêt.

- Que veux-tu ? Explique-toi clairement.

Firaz était essouflé... Il n'en pouvait plus. Il essaya de se calmé :

Je voulais juste te dire que je ne regrette plus le choix que j'ai fais !
Tu vas etre contente parce que... Je ne t'adresserai plus la parole !

Il tourna les talons et rentré chez lui...

coucou je suis la

Arnaudine explose de rire en entendant dragon crier à la porte ! "Voilà de la discrétion, si mes voisins ne savent pas que je reçois quelqu'un, c'est qu'ils seront sourds..." Elle va ouvrir, tout sourire...

- Entrez messire, la porte vous est ouverte !

j entre sans un bruit sur la pointe de mais peid et offre un bouquet de muget Arnaudine

Arnaudine est toute émue...

- C'est gentil, merci. Il est magnifique. Je n'ai pas de peau de bête, mais un bon tapis de laine. Je vous sers à boire ?

oui volontier la route étais long et fatiguent